Vous êtes employeur et vous déployez une politique de mobilité douce dans votre organisation ? Vous souhaitez encourager le vélo dans le cadre des trajets domicile-travail de vos collaborateurs ?
Vous êtes employeur et vous déployez une politique de mobilité douce dans votre organisation ? Vous souhaitez encourager le vélo dans le cadre des trajets domicile-travail de vos collaborateurs ?
Vous êtes employeur et vous déployez une politique de mobilité douce dans votre organisation ? Vous souhaitez encourager le vélo dans le cadre des trajets domicile-travail de vos collaborateurs ?
Deux solutions s’offrent à vous : 1. le vélo partage ou 2. le vélo personnel, à l’achat ou à la location.
Pour vous aiguiller, voici notre panorama des différentes solutions de vélo d’entreprise.
Il convient de préciser tout d’abord qu’instaurer des solutions de mobilité douce dans les entreprises représente une démarche en plein boum.
Plusieurs raisons expliquent ce phénomène. Citons la prise de conscience collective des enjeux de la mobilité urbaine… Entraînant la volonté de la part des actifs de modifier leurs modes de déplacement… Entraînant le développement d’actions de mobilité au sein des entreprises.
Concrètement, la mobilité douce en entreprise vise à réduire l’empreinte carbone liée aux déplacements professionnels tout en décongestionnant les villes aux heures de pointe. Elle intègre le cadre des politiques RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises).
Introduire la mobilité douce en entreprise peut se concrétiser par différents dispositifs : encourager l’utilisation des transports en commun, du vélo ou des modes de transport partagés, instaurer le télétravail (limite les déplacements), privilégier le vélo au véhicule de société, etc.
Or, les solutions intégrant le vélo sont particulièrement plébiscitées. En cause notamment : le phénomène Vélotafeur.
Contraction de « vélo » et de « taf », le vélotafeur désigne un actif qui réalise ses trajets domicile-travail à vélo. Les vélotafeurs sont en nombre croissant, profitant du déploiement des réseaux cyclables dans les grandes villes, des modèles de vélos de plus en plus variés et adaptés à tous les profils… Profitant enfin d’un engouement de société que l’on retrouve jusque sur les réseaux sociaux avec des groupes de vélotafeurs à travers toute la France.
Pour en savoir plus sur ce phénomène, consultez notre article C’est quoi le vélotaf ?.
Ainsi, dans ce paysage de mobilité douce, deux solutions s’offrent aux entreprises qui souhaitent miser sur un dispositif vélo : le vélo partage ou le vélo personnel.
Historiquement, le vélo partage désigne les solutions permettant d’utiliser un vélo en libre-service dans les villes (les fameux Vélib’ à Paris ou Vélo’v à Lyon).
Aujourd’hui, ce terme peut également désigner un dispositif interne à l’entreprise. Certaines organisations installent en effet des flottes de vélos dans l’enceinte-même de leur bâtiment. Cette démarche vise généralement à remplacer tout ou partie des véhicules de service. Elle permet aux collaborateurs qui le souhaitent d’utiliser un vélo d’entreprise pour se rendre à des rendez-vous professionnels ou encore d’emprunter l’un des vélos pour réaliser leurs trajets domicile-travail. Un véritable concept de vélo partagé en entreprise !
L’avantage d’installer une flotte de vélos est la réduction du coût global lié à la détention de véhicules de service (coût du car policy). Le dispositif permet d’offrir à ses collaborateurs la possibilité de choisir leur mode transport au jour le jour, en fonction de leur type de déplacement : trajet domicile-travail, rendez-vous professionnel ; avec le véhicule personnel, avec un vélo de service ou un véhicule de service si l’entreprise mixe flotte de vélos et flotte de véhicules.
À l’inverse du vélo partage, le vélo personnel consiste à fournir un modèle attitré à chaque collaborateur. Le vélo personnel n’intègre pas l’enceinte de l’entreprise. Il est à la discrétion du collaborateur, pour ses déplacements professionnels et privés.
L’avantage du dispositif est de proposer à chaque collaborateur le modèle correspondant à son mode de vie et, pourquoi pas, un modèle haut de gamme tel qu’un vélo électrique ou un vélo cargo. Quand l’entreprise compte un certain nombre de vélotafeurs dans ses équipes, le vélo personnel devient un avantage fort qui soigne sa culture et sa marque employeur.
D’un point de vue financier, le vélo personnel peut remplacer la mise à disposition d’un véhicule de fonction et compléter une enveloppe proposée aux collaborateurs au titre du crédit mobilité.
Le crédit mobilité désigne une enveloppe budgétaire proposée aux collaborateurs en remplacement d’un véhicule de fonction. Dans les faits, l’employeur peut mixer enveloppe budgétaire et petite citadine de fonction, enveloppe budgétaire et vélo de fonction ou 100% enveloppe budgétaire. D’un point de vue fiscal, l’enveloppe représente un avantage en nature. Pour en savoir plus, consultez notre article : Définition et mise en place du crédit mobilité.
Chez Zenride, nous proposons aux entreprises la mise en place de vélos personnels en location. En comparaison à un achat, l’option de location est intéressante, car :
Avec Zenride, la location de vélo est facilitée : chaque collaborateur se rend dans un magasin partenaire pour choisir le vélo de ses rêves (vélo cargo, VTC, vélo pliable, vélo électrique…). Il pourra retourner dans ce magasin pour entretenir son vélo dans la durée.
En tant qu’employeur, il n’y a aucune logistique à effectuer.
Pour en savoir plus, découvrez notre solution de location de vélo pour les entreprises
En conclusion, on peut dire qu’il n’y a pas de bonne ou de mauvaise solution de mobilité douce pour vos salariés. Chaque configuration d’entreprise trouvera un dispositif adapté.
Mais il est vrai que proposer la location de vélo permet à la fois :
Un tout-en-un qui a de quoi séduire les entreprises !
Notez que votre entreprise peut bénéficier d’une réduction d’impôt pour la mise à disposition gratuite de vélos à vos salariés : que cela soit via l’installation d’une flotte, via l’achat ou la location de vélos personnels.
La réduction a lieu dès le premier vélo mis à disposition, la condition principale étant la prise en charge totale du vélo (mensualités supportées à au moins 70% par l’employeur en cas de location).
La réduction d’impôt peut aller jusqu’à 25 % des frais engendrés pour la mise en place du dispositif (Sources BOFIP & article 220 undecies A du CGI).
